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En ces moments de dures réalités, de catastrophes naturelles et de mésententes entre les opinions religieuses et politiques, j’ai eu envie de m’exprimer un peu sur ces deux mythes qui ont marqué presque tous les peuples de la terre. Justement en lisant ces textes que j’ai prélevés sur la page Web principale des travaux de
En lisant cette page Web, j’ai appris quelque chose de nouveau. Pour moi
À première vue, rien à voir avec ce texte qui relate des écrits historiques ou des philosophies sacrés, mais en fait, d’après moi une simplicité s’en dégage et l’on découvre peu à peu que le message de notre inconscient collectif est le même : la division des hommes entraîne la chute tôt ou tard car pour combattre des forces tels des cataclysmes naturels, il faut unir nos forces et non les diviser.
Malgré les quelques significations qu’on peut attribuer à ce mythe, le mélange des langues après la punition de Dieu est ce qui ressort le plus souvent. Selon mes pensées actuelles, les religions ont tendance à aimer traiter Dieu de personnage souvent autoritaire et colérique, image, d’ailleurs semblable, à leur propre autorité.
Mais ce que j’ai retenu de plus important c’est que les langues correspondent aux peuples de cultures différentes. En fait, personne ne possède une langue parfaite car la langue originelle était probablement basée sur une relation directe de l’objet avec le cerveau humain, comme par exemple, les symboles de la nature interprétés intuitivement par l’homme.
Les cultures se sont développées au fur et à mesure de l’évolution de l’environnement terrestre. Il est fascinant de constater que même les plantes et les animaux se sont adaptés en changeant leur coutume pour survivre. J’ai déjà lu dans un magazine de science que ce sont les fourmis qui parmi les plus vieux insectes de la terre ont probablement traversé le plus de catastrophes et ont réussi à toujours assurer leur subsistance. Elles existaient bien avant l’homme, elles sont organisées et s’entraident mutuellement, n’est-ce pas là une bonne leçon de survie?
J’ai tendance à croire que la perte de ce langage originel interpelle l’homme. Il est enregistré probablement d’ailleurs dans toute créature terrestre et dans tout homme quelque soit sa culture et sa race et tend à refaire surface de temps à autre. La fascination pour les mythes et légendes nous vient peut-être de là qui sait?
Le symbolisme est sûrement au cœur de cette révélation d’un langage universel. L’image perçue du moment en combinaison avec un ensemble de sensations déjà enregistré est traduit par une interprétation cognitive constructiviste, donnant ainsi une conscience d’un temps présent et d’une certaine compréhension de l’environnement, témoin d’une évolution qui a passé. Le cerveau construit constamment sur des archétypes* finalement. C’est du moins ce que j’en pense pour le moment.
* Archétype : Dictionnaire Nouveau Petit Robert
Type primitif ou idéal; original qui sert de modèle. … … …
Psychan. Chez Jung. Symbole primitif, universel, appartenant à l’inconscient collectif.
ADJT. « Ce monde, suivant Platon, était composé d’idées archétypes qui demeuraient toujours au fond du cerveau. » (Volt.).
J’ai retenu de ce texte qui provient d’un atelier de recherche d’un (ou de plusieurs adeptes) de
De façon générale, encore une fois le Déluge est rattaché à une faute rituelle qui a provoqué la colère de l’Être suprême. Pour avoir une idée en gros, voici quelques petits passages que j’ai sélectionnés dans les énoncés que l’auteur du texte a prélevé lui-même dans
… « Tu prendras sept couples de tout animal pur, un mâle et sa femelle Car dans sept jours, je vais faire pleuvoir sur la terre pendant quarante jours et quarante nuits, »…
« En l'an six cents de la vie de Noé, au deuxième mois, au dix-septième jour du mois, ce jour-là tous les réservoirs du grand abîme furent rompus et les ouvertures du ciel furent béantes. « …
… « La crue des eaux dura cent cinquante jours sur la terre. »
N.B. : Avec tous ces chiffres, une étude symbolique des nombres serait très intéressante, peut-être j’aurai le temps un peu plus tard, ou si vous voulez vous essayez…
L’auteur ajoute ceci :
« Les Hébreux ont, en effet, très probablement, emprunté le mythe aux Babyloniens. Mais le thème du Déluge est encore plus ancien puisqu’ il est déjà attesté chez les Sumériens. Le nom du Noé sumérien est Ziusudra; et dans la version babylonienne, il est appelé Utnapishtim. »
« Le Déluge est provoqué par une pluie torrentielle qui dure sept jours.
Le huitième, Utnapishtim lâche une colombe et, peu après, une hirondelle, mais les oiseaux reviennent. Finalement, il lâche un corbeau qui ne revient plus.
Alors Utnapishtim débarque sur le mont Nishir et offre un sacrifice aux Dieux. Mais ici ceux-ci découvrent avec surprise que le genre humain n’a pas été anéanti.
Ils décident pourtant que, désormais, Utnapishtim ne sera pas mortel et le transportent, avec sa femme, dans un pays fabuleux et inaccessible, « aux bouches des fleuves ».
C’est là que, longtemps après, Gilgamesh, en quête de l’immortalité, lui rend visite et apprend l’histoire du Déluge. »
Dans le texte du site
« … beaucoup, depuis la nuit des temps, s’interrogent sur ce Dieu qui a d’une part créé des hommes à son image mais mauvais, et qui ensuite détruit sa créature. »
Et l’auteur continu ainsi avec les différentes Traditions dont celle, entre autre, de l’Inde où Hari (Vishnu) a pris la forme d’un poisson.
« … un poisson avertit Manu de l’imminence du déluge et lui conseille de construire un bateau. Lorsque la catastrophe éclate, le poisson tire le bateau vers le nord et l’arrête près d’une montagne. C’est là que Manu attend l’écoulement des eaux. À la suite d’un sacrifice, il obtient une fille, et de leur union descend le genre humain. » Satapatha Brahmana (I, VIII, 1), rituel rédigé probablement au VIIe siècle avant notre ère.
L’auteur fait la remarque suivante :
« Sans création les Dieux restent inconnus et inutiles ! »
Et il continu avec d’autres traditions pour en arriver à trouver finalement dans ce mythe un symbole de mort et de résurrection.
Il écrit:
« On le voit, le mythe du déluge participe largement de deux théories :
L’une qui voudrait que le Dieu créateur, excédé par sa création, ait un jour envie de tout détruire.
L’autre qui exprime le principe d’une création cyclique, d’un retour indispensable au néant avant que de repartir. En Inde cela est clairement symbolisé par le souffle de Brâhma, celui qui crée en expirant et qui à la fin du cycle reprend sa création en inspirant, et ainsi de suite. »
« Cette théorie est du reste parallèle à celle des astrophysiciens modernes qui parlent d’un monde en expansion puis en contraction, du big bang au big crash. »
En fait, la peur d’une destruction de l’humanité est encore présente de nos jours, que l’on pense aux effets que pourraient produire la chute sur la terre d’un astéroïde géant ou les fameux tsunamis, l’eau peut réellement être un monstre dévastateur. Et vu que les deux tiers de la surface terrestre sont constitués d'océans, on a raison de penser que ce type d'impact est l’un des plus redoutables.
Il est donc normal que dans l’inconscient collectif la menace d’une destruction, ou la fin du monde, soit présente depuis l’apparition de la conscience sur terre. Mais il n’y a pas que l’eau qui s’avère une menace, il y a le feu. Le feu est vraiment destructeur, il purifie, paradoxalement le rôle de l’eau est aussi purificateur mais est aussi créateur.
La vie apparaît en premier dans l’eau, la planète était couverte d’eau à l’origine. L’eau est d’un principe régénérateur, donc c’est normal de l’associer comme dans le mythe du déluge, à une régénérescence après le grand nettoyage. Ne sommes-nous pas né dans le ventre de notre mère dans un liquide amniotique! Le confort facile remplacé par le combat de la sortie en terre aride où il faut constamment courir après l’eau pour survivre.
L’auteur relate même le fait que l’on pense que le premier homme viendrait d’Afrique, ce qui pourrait peut-être expliquer l’absence du mythe du Déluge dans ce continent. Ce dernier étant plus près du souvenir de ses origines de la mer initiale.
« En fait le déluge était l’état primordial, ou tout au moins il a précédé l’apparition de la vie sur la terre
Or comme cette apparition de la vie sur la terre ferme semblerait vieille de 345 millions d’années, je vous laisse apprécier le lointain souvenir que ceux qui ont écrit les mythes du déluge pouvaient en avoir
En fait je suis en train, ici, de me demander si je ne suis pas en train de réinventer les archétypes ? »
« Car là on côtoie le mythe de la mer initiale, celle par exemple que Brâhma a baratté pour en exprimer la vie, ou le lac des égyptiens, ou les eaux primordiales de
Et il conclu :
« Et donc tous les hommes devraient posséder en eux ce souvenir initial. »
Ma conclusion personnelle : (cela ne concerne pas les opinions de l’auteur du texte)
Les leçons que j’en tire sont de deux ordres, la peur d’une menace constante de destruction de l’humanité est réellement présente et sa survie, à l’instar des fourmis qui ont traversé les siècles, dépend d’une organisation et d’une entraide mutuelle entre les créatures de ce monde.
Si l’homme choisit la guerre pour défendre ses convictions religieuses et culturelles, qui sont juste une montagne de ramassis idéologiques adaptés à son milieu et à son environnement évolutif, ou encore qu’il choisisse de se battre pour enlever à l’autre ce qu’il pense être en droit de conquérir par la force, toutes ces raisons le conduiront à sa perte car faute d’organisation et de partage, il sera foudroyé par une force plus grande que lui, les forces naturelles de la nature.
La terre n’a pas le choix d’évoluer, elle doit sans cesse se modifier, elle est en continuel mouvement, elle doit elle aussi s’adapter aux changements, elle frappe où cela l’a dérangé. Autrement dit, si l’homme pollue l’atmosphère sans en évaluer les conséquences, il provoque des attaques à la planète, qui elle, se défend et entraîne avec elle des dévastations. Le nettoyage se fait, elle est programmée en sorte, pour sa survie, elle aussi.
IL est certain que la planète a des limites et qu’un jour tôt ou tard elle se transformera mais il y a des milliards de planète dans l’espace, la survie des espèces dont l’homme en particulier qui a la faculté d’être à l’image de Dieu, peut s’organiser de façon à repeupler une autre planète s’il le faut. Cela est semblable à l’histoire de Noé qui a la responsabilité de repeupler la terre après la catastrophe. Que ce soit dans un lieu ou l’autre, l’important c’est de continuer, n’est-ce pas!
La responsabilité des humains est grande car il faut prendre conscience que si la tempête s’en vient, il faut se mettre à l’abri, il est trop tard pour prier, l’action est en cours de route, il faut éviter le pire. La science peut nous avertir avec ces calculs savants lorsque la catastrophe approche, la prière est aussi utile mais complètement à un autre niveau.
La prière découle d’un recueillement qui concentre la pensée et émet des ondes d’énergie dans notre environnement, plus ces ondes sont renforcées et plus elles ont de l’impact. C’est à ce niveau que l’être humain a un grand rôle à jouer, car il a le choix de ses pensées.
Lors de catastrophe, l’homme est solidaire des autres car il est dans un état vulnérable, il a été justement foudroyé par une force plus grande que lui. Il a alors tendance à créer toute sorte de pensées comme quelqu’un qui reconnaît ses fautes et a du remord mais se dit tout bonnement qu’il va faire mieux à l’avenir. Hélas cela ne dure pas et le voilà qui retourne très rapidement se réfugier dans le confort de ses anciennes habitudes.
Les religions ont toujours tenu les peuples en laisse à cause du manque de maturité que font preuve les gens de la terre. Ceux qui croient en l’Amour sont très rares car cela veut dire justement de partager et d’accepter de ne pas être parfait donc de ne pas détenir toute la vérité.
Pourtant les messages de notre inconscient collectif sont bien clairs,
La responsabilité revient à chacun de nous et non à des élus car plus on étire la vie sur la planète, plus il y règne l’équilibre et l’harmonie. Quelque soit notre degré de maturité ou d’intelligence, chacun est capable d’amour, s’il est bien traité. On a donc tous une responsabilité et de l’amour à répandre dans notre environnement.
Nous devons favoriser le partage de connaissances et le développement de ressources permettant une évolution harmonieuse sur la terre. Le transfert de la vie sur d’autres planètes peut venir tout naturellement avec intelligence dans une compréhension réelle de nos conditions et d’une suite d’adaptation de façon évolutive à d’autres conditions.
Sans connaître tout de l’univers, on peut quand même se douter que seule une union des forces avec l’intelligence du coeur, c’est-à-dire le retour à l’unité dans la définition de la noblesse des nombres peut protéger la survie des êtres de cette planète et lui permette de poursuivre sa route dans le cours de l’éternité.
Autrement dit, mettons nos forces ensembles et arrêtons de nous quereller pour une idéologie ou une possession de biens terrestres d’un si petit court moment sur une planète faisant partie d’un immense univers.
J’ai tombé par hasard sur ce texte de 9 pages dans la bibliothèque de