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C’est en écoutant l’émission radiophonique de Jacques Languirand : Par quatre chemins sur la première chaîne de Radio-Canada samedi le 27 novembre dernier que j’ai entendu parler de ce livre : La biodiversité. M. Languirand nous lit des extraits du volume, entre autres, sur les sujets suivants :
L’importance de la biodiversité pour se protéger nous-mêmes
Avis de la pollution démesurée des plastiques, de la lumière nocturne et du bruit infernal dans les océans
Bande de graines de semence du millénaire (environ 500,000 espèces de végétaux emmagasinés pour la conservation)
Conseil : Manger moins de viande (élevage intensif du bétail), conséquences : réduire l’empreinte écologique et prendre soin de sa santé (viande rouge : 2 à 3 fois par semaine maximum).
Pour écouter à nouveau l’émission :
http://www.radio-canada.ca/emissions/par_4_chemins/2010-2011/index.asp
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L'année de la biodiversité se termine. Yann Arthus-Bertrand parle de l'importance de protéger les richesses qui fourmillent sur notre planète! Même au coeur des métropoles les plus modernes, nous dépendons de cette biodiversité pour l'air que nous respirons, l'eau que nous buvons, la nourriture que nous mangeons.
La biodiversité, de Yann Arthus-Bertrand, La Martinière.
Livre La biodiversité
http://www.renaud-bray.com/NOS_RAYONS_nouveautes.aspx?wbgc_iNo=21
2010 est l'année internationale de la biodiversité, une composante essentielle du développement durable. A cette occasion, l'ouvrage analyse les menaces qui pèsent sur la planète telles que la surpopulation, l'agriculture intensive et les OGM ou la déforestation, afin de proposer un certain nombre de solutions. Les chapitres sont introduits par une personnalité internationale.
Définition de biodiversité :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Biodiversit%C3%A9
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre (consulté le 29 novembre 2010)
Diverses espèces épiphytes dans une forêt humide en Amérique centrale. Les écosystèmes de la zone intertropicale hébergent la plus grande partie de la biodiversité mondiale actuelle.
La biodiversité est la diversité naturelle des organismes vivants. Elle s'apprécie en considérant la diversité des écosystèmes, des espèces, des populations et celle des gènes dans l'espace et dans le temps, ainsi que l'organisation et la répartition des écosystèmes aux échelles biogéographiques.
Le maintien de la biodiversité est une composante essentielle du développement durable[1].
Le mot « biodiversité » est un néologisme composé à partir des mots bio (du grec βίος / bios, « vie ») et diversité.
Au Sommet de la Terre de Rio (1992), sous l'égide de l'ONU, au travers d'une convention mondiale sur la biodiversité, tous les pays ont décidé de faire une priorité de la protection et restauration de la diversité du vivant, considérée comme une des ressources vitales du développement durable.
Puis le sommet européen de Göteborg en 2001, dans l’accord sur une Europe durable pour un monde meilleur s'est fixé (pour l'Europe) un objectif plus strict : arrêter le déclin de la biodiversité en Europe d’ici 2010 (année mondiale de la biodiversité pour l'ONU).
Le Programme des Nations unies pour l'environnement a annoncé le 12 novembre 2008 la création d'un « groupe intergouvernemental d'experts sur la biodiversité », qui sera probablement nommé Intergovernmental Science-Policy Platform on Biodiversity and Ecosystem Services (IPBES)[2], sur le modèle du GIEC qui, lui, s'occupe du climat.
Autres liens
Pour en savoir plus
• Le site de l’association Good Planet.
• Une exposition pédagogique à partir de photographies de Yann Arthus-Bertrand.
http://www.ledeveloppementdurable.fr/
• Le site d’Eduscol aide à la mise en oeuvre de l’EEDD.
Les sacs plastiques sont une source de pollution considérable, durant tout leur cycle de vie.
http://www.encyclo-ecolo.com/Sac_plastique
Sur les sacs plastiques voir aussi :
Les articles sur les sacs plastiques de consoGlobe
Nombre de sacs plastiques distribués dans le monde
ecoentreprise entreprises |
Analyse du cycle de vie des bouchons de liège face au plastique et aluminium 26/11/2008 17:30 (Par Pierre MELQUIOT) |
Transformation de matières plastiques par moulage et usinage
www.plastiques-nobles.com
Libérez votre espace, On s'occupe du ramassage
Voir aussi :
- Le transport aérien passe au vert !
- Deux nouvelles centrales photovoltaïque pour EDF EN Italia
Retrouvez aussi :
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- Toutes les actualités sur ce thème
J’ai été très surprise lorsque j’ai entendu Georges Laraque, ancien joueur de hockey professionnel, dire dans une émission populaire de la télévision (Tout le monde en parle) qu’il serait maintenant un défenseur de la cause de la souffrance animale. Un sportif très viril osé prononcer ces mots, passer par-dessus les préjugés et les humiliations, c’est tout un exploit. Enfin quelqu’un qui peut dépasser son orgueil de mâle et avoir de la compassion envers la souffrance d’êtres aussi innocents que les animaux qui s’en vont à l’abattoir. Il a dit qu’après avoir vu le film « Terriens - Earthlings », il est devenu du jour au lendemain végétalien. Il a fait preuve d’un bon jugement en suivant les conseils d’une diététiste-nutritionniste réputée, Anne-Marie Roy.
Anne-Marie Roy est diététiste-nutritionniste graduée de l'Université Laval à Québec et prône l'alimentation responsable depuis près de 20 ans.
Elle a reçu des centaines de personnes dans son bureau de consultation et passe son message à des milliers de personnes par le billet de conférences, d’articles et d’entrevues à la télévision ou à la radio.
Son désir d’informer l’a amenée à enseigner la nutrition dans plusieurs écoles primaires et secondaires, à l’Académie Herboliste aux futurs herboristes et aux étudiantes Sages-femmes à l’Université du Québec à Trois-Rivières.
Elle est également formatrice spécialisée sur les fruits et légumes et l’agriculture biologique, et ce, à travers le Québec. Son livre Végétariens… mais pas légumes !, co-écrit avec la comédienne Patricia Tulasne, est maintenant rendu un bestseller au Québec. Reconnue pour être contagieuse; Anne-Marie Roy contamine et motive les gens par ses messages alimentaires simples, imagés, amusants, mais percutants!
Le site officiel de Georges Laraque
http://www.georgeslaraque.ca/default.asp?mn=1.40.41
Georges Laraque est un être de compassion, il défend plusieurs causes humanitaires. Ses parents sont originaires d’Haïti, il va donner un coup de main à ce pays qui doit se relever du désastre, ce fameux tremblement de terre qui a eu lieu le 12 janvier 2010 http://www.croixrouge.ca/article.asp?id=33938&tid=075 et qui a dévasté Port-au-Prince. http://fr.wikipedia.org/wiki/Port-au-Prince
http://www.georgeslaraque.ca/default.asp?mn=1.40.99
[…] Le végétarisme est non seulement bon pour les animaux, mais il est aussi bon pour notre santé et notre environnement. Un rapport publié par les Nations Unies a indiqué que l’agriculture industrielle est le secteur économique qui contribue le plus au réchauffement climatique. Alors si vous voulez vraiment être « vert », assurez-vous d’inclure davantage de légumes verts et moins de viande à votre régime!
[…] Parmi les plus grands athlètes du monde, on compte, entre autres, des végétariens : John Salley, champion à quatre reprises de
[…] À l’état sauvage, les animaux se nourrissent d’autres animaux pour survivre – ce n’est pas de ça dont il est question ici. Nous vivons dans une société civilisée où les aliments sont mis à notre disposition dans les épiceries. Nous ne vivons pas dans la nature. Nous ne devons pas capturer les animaux, les dépecer et les déchirer avec nos dents. Le problème reste l’agriculture industrialisée à grande échelle qui castre les poules, les porcs et les vaches, qui les édente sans analgésique, qui les pend pour leur trancher la gorge jusqu’à ce qu’ils meurent au bout de leur sang ou bien qui les pousse tout simplement dans un hachoir à viande alors qu’ils sont encore conscients. Je pourrais continuer à vous donner des exemples pendant des heures. Je sais que Dieu n’a pas créé les animaux pour qu’ils souffrent ou vivent de cette manière et je crois véritablement au karma. Je crois que ceux et celles qui engendrent la souffrance ont subi ou subiront les conséquences de leurs actes. Dans une autre vie, je suis persuadé que nous rencontrerons ce que nous avons tué. Voilà mes convictions personnelles à ce sujet.
En conclusion, si vous avez un chien ou un chat, s’il vous plaît, faites-les châtrer. Nous devons résoudre le problème de surpopulation de chats et de chiens. Votre famille désire adopter un animal de compagnie? Secourez une petite bête de l’abri pour les animaux de votre localité. C’est la chose la plus facile que vous pouvez faire pour venir en aide aux animaux. Réduisez le montant de viande et de poisson que vous consommez et essayez le végétarisme - vous vous sentirez beaucoup mieux; vous épargnerez de l’argent; vous réduirez votre risque de contracter le cancer et d’autres maladies; vous vivrez plus longtemps et vous contribuerez à faire de ce monde un monde meilleur en commençant par d’abord respecter la vie autour de vous. Soutenez les gens qui vous entourent, renseignez-les et aidez-moi à arrêter la cruauté envers les animaux! Je vous invite à aller visiter les sites Web suivants. Ils vous fourniront des renseignements intéressants sur les animaux et vous suggéreront de petites choses que vous pouvez faire afin de contribuer en tant qu’individu au mieux-être de ce monde et cela, pour tous ses habitants : http://www.earthlings.com/ et http://www.goveg.com.
Mahatma Gandhi – « On peut juger de la grandeur d’une nation par la façon dont les animaux y sont traités. »
http://www.tejasanimalrefuge.ca/
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Lancement officiel / conférence de presse
De nombreuses organisations et personnalités se sont déjà joints à la coalition, voici une liste préliminaire:
• Ami(e)s de
• Association végétarienne de Montréal
• Équiterre
• Vegan Québec
• Georges Laraque (hockeyeur professionnel)
• Joël Legendre (comédien et animateur)
• Jacques Languirand (animateur de radio, écrivain et dramaturge)
• Frédéric Back (illustrateur et réalisateur de films d’animation)
• Julie Snyder (productrice et animatrice)
• Laure Waridel (éco-sociologue et co-fondatrice d’Équiterre)
• Sophie Durocher (journaliste et animatrice)
L'Association végétarienne de Montréal et Les ami(e)s de
Pour suivre l'évolution du mouvement des lundis sans viande et pour s'y joindre, visitez le www.lundisansviande.net.
Une émission de Radio-Canada, ENQUÊTE, « Bêtes à bord », (voir l'émission du 21 février à l'adresse suivante: http://www.radio-canada.ca/actualite/v2/enquete/ ) nous révèle qu’il y a un problème de souffrance animale et d’insalubrité lors du transport du bétail vers les abattoirs au Canada (ou vers d’autres destinations en général). L’Agence canadienne des aliments nous dit que sur 600 millions de bêtes par année transportées dans le pays deux millions périront en chemin. Le reportage nous montre l’intervention du réseau Angel Animal qui observe ces bêtes entassées les unes contre les autres dans des camions sans aération, sans nourriture et sans eau sur des distances pouvant atteindre parfois des milliers de kilomètres. Si 2 millions d’entre elles périssent lors du transport, on imagine un peu ce que les autres peuvent endurer comme mauvaises conditions. L’émission télévisée nous rapporte aussi que
En novembre 2007 sortait en France dans les salles de cinéma, le film docu-fiction de William Arntz « Que sait-on vraiment de la réalité!? » Il s’agit d’une œuvre qui réunit les sciences d’avant-garde et la quête spirituelle. William Arntz est à la fois chercheur en physique, passionné par la réalisation de films, converti au bouddhisme et créateur de logiciel à succès. La société MEDULA film a sorti un petit journal de quelques articles regroupés en un document de 4 pages de format PDF (1.87 MB). L’article « William Arntz et son film controversé arrivent en France » de Julien Welter du site lexpress.fr comprend un entretien avec le réalisateur du film, on peut y lire : Phénomène sur la scène internationale, le film «Que sait-on vraiment de la réalité!?» a nourri les débats de divers forums scientifiques en révélant d’étonnants rapports entre la philosophie et la physique quantique. On peut aussi y lire ce qui suit : Ce film (docu-fiction) répond à la demande des médias et du public qui s’intéressent au bien-être, à la connaissance de soi, de ses émotions et aux possibilités infinies et inconnues de notre cerveau.
Lire la suite de l'article...Les québécois aiment beaucoup cet auteur, compositeur, interprète qu’est Paul Piché avec ses chansons poétiques et engagées. Il est pour la liberté, il ne s’est jamais caché qu’il est de gauche en politique. Il est un humaniste et en faveur de l’écologie. Mais voilà, que soudainement, cet auteur de talent publie un livre qui en secoue plusieurs. Il est écrit sur le site archambault.ca à propos de ce livre intitulé Déjà vu- la formule algébrique de notre inconscient collectif publié par Michel Brûlé aux Éditions des intouchables : Paul Piché signe ici, dans un style direct et vivant, une oeuvre audacieuse et originale. L'auteur avoue toutefois, que l'observation qu'il fait aujourd'hui soulèvera plus de questions que les réponses qu'il ne pourra apporter. Archéologue de formation, habitué des sentiers peu fréquentés quitte à les défricher lui-même, il ose nous faire part d'une de ses découvertes: une manifestation concrète et chiffrée de notre inconscient collectif qui se dévoilerait de façon cyclique et récurrente dans le temps. Nous suivrons comme une intrigue cette réflexion méthodique et rigoureuse. Les icônes et les événements qui ont marqué notre temps nous serviront alors de repères à la révélation d'une mécanique étonnement précise. Paul a été reçu en entrevue dans quelques émissions télévisées pour tenter d’expliquer son expérience, à mon avis c’est celle avec Christiane Charette à Radio-Canada qui semble le mieux traduire sa pensée, l’entretien est de 18 minutes (20 novembre 2007).