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Samedi 31 Mars 2012
Chögyam Trungpa
--> Introducteur du bouddhisme tibétain en Occident et maître spirituel controversé

Récemment, j’ai acheté un livre qui s’intitule : Chögyam Trungpa. Sourire à la peur. Réveillez le courage en vous. http://lecuyer.ruedeslibraires.com/livres/sourire-peur-reveillez-courage-vous-222919.html

 

Je trouve le livre intéressant et j’ai voulu en savoir plus sur Chögyam Trungpa. J’ai donc fait une petite recherche sur le Web. J’ai appris des choses étonnantes sur lui, entre autres, qu’il a rédigé de nombreux ouvrages et qu’il a été un maître spirituel controversé mais dont les enseignements ont été tout de même respectés par ses disciples et d’autres maîtres tibétains.

 

http://fr.wikipedia.org/wiki/Ch%C3%B6gyam_Trungpa_Rinpoch%C3%A9

Le Vidyadhara Chögyam Trungpa Rinpoché (1939 - 1987) est un Rinpoché considéré par les membres de sa tradition comme la 11e réincarnation de la lignée des tulkous Trungpa, maîtres importants de la lignée Kagyu, l'une des quatre écoles du bouddhisme tibétain, connue pour l'importance particulière qu'elle accorde à la pratique de la méditation. Chögyam Trungpa a été aussi formé dans la tradition Nyingma, la plus ancienne des écoles, et adhérait au mouvement Rimé. Il a fait œuvre de pionnier en apportant les enseignements bouddhistes du Tibet en Occident (Écosse et États-Unis principalement) au début des années 1960. Il est réputé pour avoir été un maître spirituel iconoclaste.

Sommaire

Folle sagesse

Chögyam Trungpa était un maître spirituel iconoclaste dont les comportements (la création d'une cour royale), les habitudes (sa consommation d'alcool), et les méthodes (dans l'esprit de Dorje Drolö, la manifestation de la "folle sagesse") ont soulevé des controverses sans pourtant affecter le respect de la plupart de ses disciples ou d'autres maîtres tibétains pour son enseignement, y compris de la part de sa femme, Diana J. Mukpo (Diana Pybus), qui fut témoin et participante, parfois embarrassée, des activités de son mari[1].

 

http://www.shambhala-toulouse.fr/livre/chogyam_trungpa

Chogyam Trungpa

Voici la liste complète des livres de Chogyam Trungpa parus en français.

Pour plus d'information, consultez la biographie de Chogyam Trungpa.

http://blog.psychotherapie-integrative.com/chogyam-trungpa-et-allen-ginsberg/

Chogyam Trungpa et Allen Ginsberg

Une question importante s’est posée dans les commentaires d’un article précédent « l’institut Naropa de Chogyam Trungpa » consacré au maître bouddhiste tibétain Chogyam Trungpa : comment comprendre la fin tragique du maître, ayant sombré dans l’alcoolisme ? Cela est-il digne d’un maître ?  L’intégration entre la tradition tibétaine et la modernité occidentale, s’est-elle avérée impossible ?  Le contexte culturel de l’époque aux Etats-Unis, au lendemain de la guerre, en plein « new age », s’est-il avéré un contexte trop fort et trop pathogène pour les « neurones miroirs » du maître ?

Après sa rencontre avec le célèbre poète Allen Ginsberg en 1970 -  les deux hommes devenant très proches pour tenter l’intégration suprême du « dharma et de la poésie » – est-ce que ce n’est pas Allen Ginsberg qui va devenir le maître  de Chogyam et proposer un mode de vie dissolu, imprégné de l’usage de toutes les drogues de l’époque ?
Est-ce que le fameux recueil poétique de Ginsberg :  « Howl » édité en 1956 et dédié à « Jack Kerouac, le nouveau bouddha de la prose américaine… » – un autre célèbre alcoolique de l’époque – ne va-t-il pas devenir prophétique pour Chogyam Trungpa ? :

« J’ai vu les plus grands esprits de ma génération détruits par la folie, nus d’une faim hystérique, se traînant à l’aube dans les rues nègres, à la recherche d’une furieuse piqûre,
initiés à tête d’ange brûlant pour la connexion céleste ancienne avec la dynamo étoilée dans la mécanique de la nuit, qui pauvreté en haillons, oeil creux et défoncés, restèrent debout en fumant dans l’obscurité surnaturelle des chambres bon marché flottant par dessus le sommet des villes en contemplant le jazz  (…)
Howl  and others poems     Allen Ginsberg      Christian Bourgeois  Editeur 2005

Toutes ces questions, on peut légitimement se les poser en considérant tous ces maîtres orientaux, tous les gourous venus se réfugier en Occident dans les années 60-70 – les Krishnamurti, Osho Rajnesh, Maharishi Mahesh Yogi, Deshimaru en France, etc). Alors qu’ils étaient eux mêmes en révolte contre leurs propres traditions religieuses, ne se sont-ils pas laissés instrumentalisés et utilisés par une autre révolte, celle d’une jeunesse occidentale dont la préoccupation essentielle n’était que le dépassement de tous les interdits de leurs parents, cela entrainant une sorte de dérapage de leur spiritualité et de leur comportement de « maître » avec son devoir d’exemplarité ?

Beaucoup de questions restent  ainsi posées, sans de véritables réponses, mais elles ont jeté le discrédit pour longtemps sur une certaine spiritualité du « new age ».
Une des leçons serait qu’il il nous faut maintenant nous engager sur les voies du spirituel et du « transpersonnel », tout seuls, en pleine autonomie, de manière laïque, c’est à dire débarrassés  des gourous et des maîtres, avec juste des instructeurs dont la pratique est étayée par des études scientifiques rigoureuses (voir le mouvement de la pleine conscience impulsé par Jon Kabat-Zinn).

Tags : bouddhisme, maitres, poésie, religions, spiritualité

http://zen.viabloga.com/la_meditation.shtml

"J'ai deux kôans à vous dire" est un blog consacré au dharma, l'enseignement du Bouddha, et plus particulièrement au Zen. J'y parle également d'engagement social, des langues chinoise et japonaise et de quelques autres choses.

Je suis un disciple du Bouddha. Mon nom de dharma est Jiun (
慈雲, Nuage de Compassion). Pour en savoir plus, vous pouvez cliquer ici ou ...

Pour m'écrire :
eric (at) zen-occidental.net

L'expérience intégrative

Fév. 26 09

Posté par Jiun Éric Rommeluère dans Méditer

1 commentaire

Que faire pendant la méditation ? Il est essentiel de dire que la méditation zen n’est ni une concentration, par exemple sur le souffle ou un point du corps, ni une observation, par exemple des pensées. Jamais dans les textes classiques consacrés à la méditation, par exemple le Fukanzazengi de Dôgen, vous ne trouverez d’indication sur la concentration (en japonais shi, « arrêter », qui correspond au sanskrit samatha) ou sur l’observation (kan, « contempler », qui correspond au sanskrit vipassana), sinon éventuellement comme des pratiques introductives.


J’ai souvent entendu des critiques de la part de bouddhistes tibétains qui assimilent la méditation zen à une sorte de concentration et encore assez vague et qu’il manquerait au Zen la pratique de l’observation. Dans ces écoles, la concentration permet d’apprivoiser l’esprit afin que par l’observation, ils puissent contempler la vacuité.  Il s’agit là d’une mécompréhension du sens même de la méditation telle que nous la pratiquons. Méditer signifie pour nous s’établir dans une conscience intégrative du corps-esprit qui se libère d’instant en instant du processus de la pensée.


Les Tibétains ont aussi leurs controverses  sur le sens et la pratique de la méditation. La tradition du Dzogchen, au demeurant fort proche du Zen, explique qu’il existe deux attitudes possibles pendant la méditation. On peut soit observer les pensées, sans les juger ni les manipuler, dans l’observation neutre des processus mentaux, soit… se placer d’emblée dans l’observation de celui qui observe. Cette seconde attitude est celle du Dzogchen.

Le Zen rejoint là la tradition du Dzogchen. Mais observer l’observateur me paraît une formulation un peu abstraite. Dans le Zen, on utilise une image. L’esprit est comparé à un miroir pur et brillant sur lequel passent des ombres (les pensées, les sensations, les perceptions). La méditation ne consiste pas à regarder les ombres mais à révéler l’esprit dans sa pureté et sa nudité. Pour se faire, on se tient simplement dans la présence et dans l’ouverture inconditionnelle. Il s’agit d’un retournement de la conscience qui n’est pas conscience de quelque chose, mais conscience à sa source. Tout ce qui surgit n’encombre plus alors l’esprit. On se tient simplement : mais cette simplicité même est fort déroutante, et la conscience cherche sans cesse quelque chose à saisir et à emporter.

 

Ecrit par Ginette Lavigne, à 18:47 dans la rubrique "Mystique et spiritualité".
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Samedi 30 Avril 2011
La phonologie du sanskrit
--> Portail : Sanskrit

La langue sanskrite est assez populaire sur le Net. J’ai trouvé par l’intermédiaire du site de wikipédia le Portail : Sanskrit à l’adresse suivante : http://fr.wikipedia.org/wiki/Portail:Sanskrit

 

On y trouve des notions générales telles que des définitions, l’histoire, la grammaire, etc.

 

Parmi ces notions, il y a entre autres la phonologie :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Phonologie_du_sanskrit

La phonologie du sanskrit est particulièrement bien connue, grâce, notamment, à ini et ses commentateurs, qui ont pratiqué une description phonologique puis phonétique détaillée de la langue et, d'autre part, au respect religieux de la prononciation des textes sacrés, ainsi qu'aux écritures utilisées pour les noter.[1]

1.      dans le texte, le sanskrit (en italique) et sa phonologie (entre barres obliques) sont écrits dans la transcription des langues indiennes (en italique), tandis que la phonétique l'est en alphabet phonétique international (API, entre crochets). Les tableaux utilisent aussi l'API pour la phonologie, afin de résumer en même temps la réalisation approchée des phonèmes.

Article principal : Sanskrit.

Sommaire

L'importance religieuse de cette discipline

La phonologie du sanskrit est particulièrement bien connue, grâce, notamment, à Pāini et ses commentateurs, qui ont pratiqué une description phonologique puis phonétique détaillée de la langue (il est notable que la description des phonèmes qu'en propose Pāini dans son Aṣṭādhyāyī est purement phonologique ; il ne s'intéresse pas à la phonétique articulatoire, discipline traitée cependant dans d'autres textes, surtout religieux), et, d'autre part, au respect religieux de la prononciation des textes sacrés, ainsi qu'aux écritures utilisées pour les noter : la culture indienne est avant tout orale ; le son y possède donc une valeur importante aux yeux des Indiens, et les textes religieux ne font pas exception ; la formule efficace, premier sens de brahman, qui en vient ensuite à désigner le Principe suprême de l'hindouisme, ne peut l'être que correctement prononcée. Nombre de textes religieux expliquent l'importance d'une prononciation exacte et les conséquences fâcheuses qu'une erreur de diction peut entraîner dans la récitation d'une prière, d'une formule. De même, prononcer correctement une formule, c'est être certain qu'elle fonctionnera : un être animé de mauvaises intentions (comme un démon) peut donc obtenir des pouvoirs magiques au moyen des formules efficaces. C'est pour cette raison que l'enseignement des quatre Veda, purement oral, se fait de manière systématique par l'apprentissage de phrases entières puis syllabe par syllabe puis par inversions de syllabes selon un ensemble de permutations de plus en plus complexe ; en outre, l'apprentissage des Veda est resté longtemps ésotérique et réservé à la caste des brāhmaa (brahmanes) ; ils ne pouvaient être récités que devant d'autres brāhmaa ou des katriya, membres de la deuxième caste, celle des guerriers-aristocrates. De sorte, déjà avant l'étude phonologique de Pāini, les prêtres étudiaient de près la phonétique de la langue sacrée ; l'étude des textes révélés (ceux que l'on désigne par le vocable de smti, « révélation ») se faisait selon six approches ou vedāga, « membres des Veda », parmi lesquelles l'approche phonétique, ou śikā, a donné naissance à une importante littérature analytique, que l'on désigne sous le nom de Prātiśākhya. (À titre indicatif, les autres approches sont : la métrique, chanda, la grammaire, vyākaraa, l'étymologie, nirukta, les cérémonies, kalpa, et l'astronomie, jyotia.)

Il est aussi notable qu'un dieu, Śiva, soit censé être le créateur des phonèmes sanskrits et que s'est aussi développée une mystique du phonème, attribuant à chacun d'entre eux un sens profond ainsi qu'un pouvoir précis ; c'est sur cette mystique que les mantra reposent. De fait, une telle importance donnée aux sons de la langue sacrée a grandement influencé l'écriture : bien que longtemps réticents à noter leurs textes sacrés, les Indiens ont créé plusieurs semi-syllabaires, tous héritiers d'un même modèle, la brāhmī, notant les textes avec une très grande précision.

Et ce petit coin très agréable à entendre :

Bibliothèque sonore

Important!! : Utilisation de ce module

La blibliothèque sonore permet, à partir des grands textes de la littérature sanskrite, d'approfondir la connaissance de la prononciation de cette langue.

****** Titres ******


Īśa Upaniad
Yoga Sūtra de Patañjali

Voir aussi

Liens internes

Wikipédia en sanskrit.

Sur les autres projets Wikimédia 

 

Liens externes

Portail de la linguistique

Portail du monde indien

 

D’autres liens vers des sites qui définissent et enseignent le SANSKRIT :

http://www.yogapedie.com/sanskrit.php

Sanskrit / Sanscrit

Le sanskrit est une langue indo-européenne, de la famille indo-iranienne, jadis parlée dans le sous-continent indien. Certains mots sont toujours utilisés par certaines familles de brahmanes et certaines écoles spiritualistes.

Catégories :

Langue véhiculaire - Langue du monde indien - Langue flexionnelle - Sanskrit - Langue liturgique

Links to Sanskrit resources

Canada

Department of Asian Studies, University of British Columbia
Department of East Asian Studies, University of Toronto

France

Centre d'études de l'Inde et de l'Asie du Sud de l'EHESS
Centre d'études de l'Inde et de l'Asie du Sud de l'EHESS
Ecole Pratique des Hautes Etudes (Sciences historiques et philologiques) Cours de Jan Houben
Research team "Mondes Iranien et Indien", UMR 7528 CNRS
Sanskrit at Université Sorbonne Nouvelle Paris3
Sanskrit at Université de Lille
Sanskrit at Université de Provence (Aix)

USA

South Asia Institute, Columbia University
Middle East and Asian Languages and Cultures, Columbia University
Sanskrit Knowledge Systems Project, Columbia University
Harvard University Sanskrit Department
Brown University Sanskrit Program
UCLA Department of Asian Languages and cultures
Project South Asia, South Dakota State University and Missouri Southern State University
Department of South Asian Languages and Civilizations, U. of Chicago
Department of South Asian Languages and Civilizations, U. of Chicago
South Asian Studies Program, Rutgers University
Department of Asian Languages and Literature, University of Washington
Department of South Asian Studies, University of Washington
Center for South Asia Studies, University of California at Berkeley
Department of Asian Studies, University of Texas at Austin
South Asia Institute of University of Texas at Austin
University of Colorado at Boulder
Sanskrit at John Hopkins University
Sanskrit Courses regularly offered at the University of Wisconsin-Madison
Sanskrit Department, Florida Vedic College at Coral Springs

Many more links may be found in the Göttingen portal on South Asia Research Institutions on the Internet
and at page
Academic Sanskrit Studies around the World.

Voir de nombreux liens : http://sanskrit.inria.fr/portal.html

Ecrit par Ginette Lavigne, à 16:36 dans la rubrique "Mystique et spiritualité".
Lien permanent 1 commentaires


Jeudi 31 Mars 2011
Les phosphènes
--> Le livre des phosphènes et les travaux du Docteur Francis Lefebure

C’est tout à fait par hasard, en vérifiant dans les statistiques des liens externes de ce blog soit plus précisément le moteur de recherche QuickSurf, que j’ai trouvé un livre intitulé :

LE LIVRE DES PHOSPHENES  

http://misraim3.free.fr/divers/livre_des_phosphenes.pdf

PDF, 56 pages, 364 Ko

 

En lisant ce livre, je me suis senti toute suite interpellée car dans le passé j’ai fait une expérience de ce genre et j’ai été drôlement affectée par les résultats. Je me suis mis à la place de quelqu’un qui se fait couper les paupières afin de tenter de ressentir un peu les sensations que cette personne pouvait éprouver lors de cette torture. Une idée de fou direz-vous mais cela m’avait passé par la tête! Bon, alors j’ai laissé mes yeux ouverts le plus longtemps possible sans les cligner en fixant dans une direction. Ce qui est arrivé, c’est que j’ai commencé à voir des phosphènes sans savoir ce que c’était, les couleurs étaient belles et à la fin les objets comportaient des contours lumineux et vibraient fortement. C’était beau et un peu douloureux, mais à la longue ces excitations dans mon cerveau commençaient à me faire peur, j’ai eu du mal à revenir à la normale. Le tapis carrelé orange et rouge vibrait tellement que le sol devenait flou et c’était drôlement fatiguant à la longue. Ça ressemblait un peu aux effets visuels dans une discothèque, des stroboscopes et des lumières qui scintillent dans un mouvement continuel comme la piste de danse dans le film Saturday night fever avec John Travolta. Après 35 ans, j’ai enfin une explication. Il est vrai que j’ai fait d’autres expériences par la suite qui me confirment que les effets des phosphènes sur le cerveau sont réels.

 

De plus en lisant sur le sujet, j’ai appris l’importance des balancements, des mouvements rythmiques de la tête qui ont aussi un effet sur le développement des capacités cérébrales. J’ai aussi remarqué dans ces lectures le rapprochement flagrant avec l’origine des religions, le feu étant probablement un élément déclencheur de la spiritualité, le feu « sacré ».

 

Qu’est ce que le phosphénisme?

http://www.phosphenisme.com/accueil.html

Le PHOSPHÉNISME est un ensemble de techniques mis au point par le Dr LEFEBURE, ayant pour but d’accroître les capacités cérébrales à partir d’une méthode basée sur des réactions physiologiques : LES PHOSPHÈNES, taches multicolores qui apparaissent en obscurité pendant trois minutes et que l’on obtient après avoir fixé 20 secondes une source lumineuse.

 

http://www.phosphenisme.com/genese.html

GENÈSE DE LA MÉTHODE

Les origines

Le Dr LEFEBURE est à l’origine de plusieurs grandes découvertes scientifiques capitales pour l’humanité. Il est en effet le premier à avoir résolu une des plus grandes énigmes de la science à savoir : Comment s’est fait le passage du "sauvage à l’humain" ?  Comment sont nées les religions ?

 

http://www.phosphenisme.com/genese.html

Les premiers hommes ont fixé le feu et cette fixation s’est étalée

sur des temps immémoriaux.

Au tout début, ils devaient attendre que la foudre frappe sur un arbre et l’enflamme ; ainsi ils purent s’approprier le feu. Mais, ne sachant pas encore le produire, ils devaient le veiller à tour de rôle. Même pendant leurs déplacements, un membre du clan avait la lourde mission de surveiller ce feu "sacré".

 

Du plus vieux fond de l’humanité surgit la lumière.
Les premiers hommes avaient observé un effet totalement inattendu, mais qui a complètement transformé l’homme sauvage et la vie du groupe ; les activités des premières sociétés se sont organisées autour du feu, y compris leur hiérarchie. Les gardiens du feu avaient un rôle si important, qu’ils étaient punis de mort s’ils venaient à laisser le feu s’éteindre. Dans le même temps, ils étaient respectés, car ils détenaient une connaissance qui dépassait l’entendement. C’est ainsi que naquit le chamanisme qui fut la première des religions.

 

http://www.phosphenisme.com/accueil.html

LES 11 MOTS CLÉS DU PHOSPHÉNISME

 

Mixage Phosphénique
Post-Phosphène
Co-Phosphène
Alternance Cérébrale
Point de Concentration
Chaos Visuel
Lueur Diffuse
Sel Phosphénique
Système Phénique
Pensée Rythmée
Rythmo-Phosphénisme
Accès au GLOSSAIRE

 

http://www.phosphenisme.com/devindividuel.html

LES BALANCEMENTS : Depuis des millénaires, les balancements sont pratiqués dans de nombreuses traditions et enseignements Initiatiques de très haut niveau, dans le but de provoquer l’éveil de la conscience.

 

La tradition des balancements se retrouve dans tous les cultes et toutes les religions. On la constate aussi bien dans la religion juive, dans la religion musulmane, dans la tradition soufie, dans la pratique quotidienne des “sanyasin” (renonçants) de l’Inde, qu’en Asie, par exemple dans la religion shinto (Japon), en Chine, dans les pratiques taoïstes, ainsi que dans les traditions populaires chinoises. En Égypte, les archéologues ont trouvé, dans des tombeaux datant de l’époque d’Akhenaton (Aménophis IV, XIVe siècle avant notre ère) des peintures murales représentant des danseuses faisant des balancements probablement rituels. Seule la religion catholique moderne a perdu cette pratique.

Parallèlement à cette pratique universelle des balancements, il existe un autre point commun aux rites religieux, aux initiations et à toute recherche mystique : la fixation de sources lumineuses.

Par exemple, un feu pour les Zoroastriens, une flamme pour les Tibétains, le soleil ou la lune dans les cultes solaire et lunaire. Ou bien encore, le reflet du soleil sur l’eau pour le chef religieux africain ; ou, comme Nostradamus, le reflet de la lune sur un miroir d’argent, lorsqu’il voulait provoquer des phénomènes de voyance et les transmettre à Catherine de Médicis. Dans l’initiation aux Mystères d’Éleusis, d’où sont sortis tous les grands hommes de la Grèce Antique, qu’ils aient été philosophes, mathématiciens ou poètes, il s’agissait de fixer une torche et de penser à un épi de blé une fois les yeux bandés. Dans le culte catholique, un cierge est allumé pour prier. Dans le culte orthodoxe, le prêtre se balance en priant et en fixant la flamme du cierge.

On retrouve également cette utilisation rudimentaire et instinctive chez des voyants qui placent une bougie près d’une boule de cristal. Là aussi, ils obtiennent un phosphène par réflexion de la lumière, la boule faisant loupe. Comme toute lumière  réfléchie est plus ou moins polarisée, cela explique les moments de voyance (voir le livre : La clé des manifestations surnaturelles. De même pour le “miroir magique” qui n’a rien de magique en dehors de son pouvoir de réflexion. Nous pourrions ainsi continuer à donner des centaines d’exemples se recoupant tous parfaitement, sans entrer dans des considérations hasardeuses. À travers l’étude des textes, des religions, des cultes et des traditions, le chercheur sera étonné de constater à quel point les phosphènes ont largement participé au développement de l’humanité.

Il semble que ceux qui avaient saisi l’importance du rôle des phosphènes dans le développement de l’individu aient cherché à le dissimuler. Par exemple l’interdiction, sous peine de mort, de divulguer l’initiation des Mystères d’Éleusis ; ou encore, les persécutions dont les taoïstes ont été victimes de la part des seigneurs qui voulaient empêcher ces connaissances de se répandre. De plus, bon nombre de commentateurs ont souligné qu’en lisant la Bible impartialement, on s’aperçoit que le Christ a été mis à mort pour divulgation de secret. Nous ajouterons : de secret relatif à une science des phosphènes. D’autre part, le phénomène du phosphène n’avait jamais été étudié jusque-là, reposant trop sur ce que le Docteur LEFEBURE a appelé le sentiment d’évidence. Le phosphène apparaît comme un phénomène tellement évident qu’on en oublie de se poser les questions les plus élémentaires.


EXEMPLE:

BALANCEMENT LATÉRAL : Intuition. Renforcement de la personnalité, ce qui permet de ne plus être sujet à tous les stress.

BALANCEMENT VERTICAL : Rêve en couleur et ascensionnel. Éveil dans le sommeil, rêve dirigé, extension de conscience. Facilite ce que certains ont appelé le "Paradis perdu" c’est-à-dire le monde nocturne. Dédoublement mental et astral. Voyage astral.

BALANCEMENT ANTÉRO-POSTÉRIEUR : Visions prophétiques. Transformation de la rêverie en action concrète. Permet de faire des rêves durant lesquels le sujet reçoit des conseils pour son évolution personnelle.

BALANCEMENT en 8 : Permet d’acquérir une plus grande force de caractère ainsi qu’une certaine clairvoyance sur notre chemin de vie.

 

BALANCEMENT en HÉMICIRCUMDUCTION (ou Balancement en fer à cheval) : Rêve initiatique (rêve durant lequel le sujet reçoit des conseils sur les exercices qu’il doit pratiquer pour arriver rapidement à un développement intérieur).

BALANCEMENT en ROTATION : Développement du magnétisme. Développement de la force magnétique. Prise de conscience et éveil des chakras.

http://www.phosphenisme.com/alternance.html

 

Le PHOSPHÉNISME est un ensemble de techniques ayant pour but d’accroître les capacités cérébrales à partir d’une méthode basée sur des réactions physiologiques : LES PHOSPHÈNES, taches multicolores qui persistent en obscurité pendant trois minutes et que l’on obtient par de courtes fixations d’une source lumineuse.

 

http://www.phosphenisme.com/fondateur.html

Docteur Francis LEFEBURE
(17 septembre 1916 - 19 mars 1988)
Sa vie et son œuvre

Ancien Externe des Hôpitaux de Paris.
Ancien médecin du Service de Santé scolaire.
Ancien professeur de Sciences et de Mathématiques.
Médaille d’Or et Prix du concours Lépine, 1963.
Médaille d’Argent du concours Lépine, 1964.
Médaille d’Or du Salon International des Inventeurs, 1964.
Médaille Vermeil du Salon International des Inventeurs, 1967.
Médaille d’Argent du Salon Mondial des Inventeurs de Bruxelles,
en 1975 pour la méthode du "Mixage Phosphénique en Pédagogie".
voir les diplômes
voir : Francis-Lefebure.com (diaporama)

 

Quelques dates dans l’histoire du Phosphénisme :

  • 1916 : le Docteur Francis LEFEBURE est né le 17 septembre 1916, à Paris. Il est décédé le 19 mars 1988 au 104, rue Réaumur 75002 Paris.
  • 1945 : Il crée l’association "Homosophie : Sagesse des similitudes" qu’il transformera peu de temps après en association "Phosphénisme".
  • 1959 : Première découverte du Dr LEFEBURE sur les phosphènes et premier livre expliquant le Phosphénisme.
  • 1960 : Vérification au CNRS, au laboratoire de l’Institut National des Sports et à l’hôpital Henri-Roussel à Paris des travaux du Dr LEFEBURE.
  • 1963 : Première Médaille d’Or et prix du Concours Lépine.
  • 1967 : Envoi de lettres et de télégrammes au Vatican et à sa Sainteté Paul VI pour expliquer que venaient d’être découverts scientifiquement les "phénomènes" de Fatima. Après ces révélations qui ont "troublé" le pape, l’Église ne parle plus des "prodiges solaires" comme le joyau de l’Église catholique. Ce qui constitue une reconnaissance implicite des découvertes du Dr LEFEBURE.
  • 1967 : Première photographie de phosphènes réalisée par M. Louis Cuttica. Par la suite, plus d’une centaine de photos seront réalisées.
  • 1969 : Les services secrets de plusieurs pays, dont la France, s’intéressent aux découvertes du Dr LEFEBURE. Mais, compte tenu des implications religieuses l’affaire les dépasse "Affaire classée".
  • 1974 : Sortie du livre Phosphénisme, nouvelle explication de l’origine des religions.
  • 1975-1982 : Cycle de conférences (Allemagne, Grande-Bretagne, Portugal, Afrique, Réunion, Canada Français).
  • 1981 : Première rencontre de Daniel STIENNON avec le Dr LEFEBURE.
  • 1981 : Après avoir découvert la fonction "rotationnelle du cerveau", le Dr LEFEBURE crée le Gyrascope.
  • 1986 : Création par Daniel STIENNON de la sarl Éditions Phosphénisme.
  • 1996 : "Le Mixage Phosphénique en Pédagogie" en est à sa quatorzième édition avec plus de 56 000 exemplaires vendus.
  • 1997 : Entrée du Phosphénisme sur Internet en trois langues (Français, Espagnol et Anglais).
  • 1999 : Création d’un Centre de Recherche Phosphénologique dans le département du Gard (30).
  • 2001 : Lancement et création des premiers livres numériques.

 

 

http://www.youtube.com/watch?v=-imyjWM8zjw

Sciences : Marcel Locquin - Les phosphènes - Extrait de Conférence 5 :02 min

3 février 2009

 

http://fr.wikipedia.org/wiki/Phosph%C3%A8ne

PHOSPHÈNE

Un phosphène est un phénomène qui se traduit par la sensation de voir une lumière ou par l'apparition de taches dans le champ visuel. Les phosphènes peuvent être causés par une stimulation mécanique, électrique, ou magnétique de la rétine ou du cortex visuel mais aussi par une destruction de cellules dans le système visuel.

Dans certains cas, ce phénomène optique est dû à la persistance rétinienne. Il survient normalement après fixation d'une source lumineuse ponctuelle. Lorsque ce phénomène bien connu aveugle momentanément, on parle d'éblouissement (au volant par exemple).

Les phosphènes peuvent être aussi un signe précurseur d'un décollement de rétine.

Ils peuvent encore intervenir lors de troubles neurologiques, comme l'épilepsie ou la migraine ophtalmique, ou suite à la prise d'un psychotrope (médicament ou drogue de type hallucinogène).

Les phosphènes peuvent accompagner les "vertiges orthostatiques" qui se produisent lorsque la personne passe de la position allongée ou assise, à la position debout trop rapidement. C'est, en général, le signe d'une tension artérielle trop faible ou d'un traitement hypotenseur mal adapté. [1]

Les phosphènes des astronautes dans l'espace sont dus à l'effet Tcherenkov[2].

 

Ecrit par Ginette Lavigne, à 18:58 dans la rubrique "Mystique et spiritualité".
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Jeudi 30 Avril 2009
La Kabbale par André Lemoine
--> Son livre « Je »

André Lemoine est un psychothérapeute qui nous propose une lecture sur son approche personnelle initiatique et spirituel. Il nous dédie quelques 360 pages de son ouvrage nommé « JE », et nous invite à découvrir à travers ses textes le chemin de la psychologie et de la sagesse.

 

Livre "Je"

http://www.priceminister.com/offer/buy/42028150/Lemoine-Ai-Je-Une-Initiation-Psychologique-Et-Sprirituelle-Livre.html#info

 

http://www.andre-lemoine.com/

Bienvenue sur mon site internet
Mon parcours personnel, autant psychologique que spirituel, avec un engagement authentique dans la pratique d'une voie spirituelle, me permet de transmettre à mon tour ce que la vie m'a appris au cours de mes épreuves humaines et initiatiques.

 

http://www.andre-lemoine.com/livre_je.htm

 

Ouvrage nommé « Je » (disponible en format PDF)

 

Sommaire général
Introduction
Chapitre 1 : Perte du Soi / Bases psychologiques
Chapitre 2 : Écoute de soi et de l'autre
Chapitre 3 : Acceptation / Action de changement
Chapitre 4 : Spiritualité / Notre chemin intérieur
Conclusion
La pratique

 

 

André nous offre à lire au chapitre 4, à la page 58 du document PDF (ou 277 du livre), La Kabbale, une étude du symbole et de la signification profonde de chacune des lettres hébraïques.

 

http://www.andre-lemoine.com/pdf/chapitre4.pdf

 

SPIRITUALITÉ – NOTRE CHEMIN INTÉRIEUR

 

Il écrit :

 

La Kabbale (Page 277)

 

Je vous propose mon approche personnelle de la Kabbale qui me semble un outil important pour le chemin que je propose, car notre parcours est souvent fait d’impasses et d’illusions. Ces messages ont pour but de vous aider à sortir de ces impasses et à reprendre votre parcours intérieur initiatique, dans une direction juste.

[…]

Il s’agit d’une étude du sens profond de chaque lettre hébraïque, c’est à dire le message caché et original de ce langage qui s’adresse beaucoup plus à notre inconscient qu’à notre mental.

 

Quelques généralités :

- Le mot Kabbale signifie faculté de recevoir, c’est une énergie féminine.

- Chaque lettre de cet alphabet est un symbole. Elle est en même temps une lettre, un mot et un nombre.

- Le mot correspondant à chaque lettre change suivant les voyelles que l’on y met. Ces voyelles changent suivant le sens qu’on veut lui donner.

- Le mot “hébreu” veut dire : celui qui passe la frontière. Le premier c’est Abraham. C’est celui qui se met en quête de Soi, de l’autre et de l’inconnu.

- On ne peut être soi-même tant qu’on reste en soi-même. On commence à guérir quand on quitte sa personnalité.

- L’origine de cet alphabet vient de symboles funéraires qui représentaient les 22 étapes de la migration initiatique de l’âme après la mort. Ces lettres sont ensuite passées de la mort à la vie. Elles ne servent plus à conduire les morts mais les vivants. En réalité il s’agit de mourir à son ego, à sa personnalité, pour laisser éclore son vrai “SOI”.

- Les 22 lettres hébraïques sont les 22 énergies fondamentales qui composent toutes choses. Toute chose est porteuse de symboles. Tout ce qui nous arrive est digne d’être écouté pour en comprendre le sens.

- Les 9 premières lettres représentent les énergies de base. Les 9 suivantes représentent les différentes facettes de l’aventure humaine, les processus existentiels. Les 4 dernières plus les 5 finales, qui sont 5 lettres modifiées, représentent les finalités de toutes nos histoires personnelles et la finalité de l’espèce humaine.

- Toutes les lettres s’écrivent du haut vers le bas, c’est le sens de l’incarnation.

 

Voir la suite pour chacune des lettres hébraïques

Note : Ce chapitre 4 en format PDF comporte 125 pages de lecture en tout. http://www.andre-lemoine.com/pdf/chapitre4.pdf

 

Ecrit par Ginette Lavigne, à 23:39 dans la rubrique "Mystique et spiritualité".
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Mardi 31 Octobre 2006
La langue SANSKRIT
--> La langue divine?

5. Les chiffres en Devanâgarî
0 1 2 3 4 5 6 7 8 9
0 1 2 3 4 5 6 7 8 9
J’avoue que pour moi les langues ont toujours été des séries de sons audibles, misent ensemble pour tenter de communiquer les uns avec les autres, dont on a donné des formes graphiques accompagnées de règles, tous cela dans le but d'obtenir un langage propre à un groupe d’individus rapproché, que l’on nomme une civilisation. Mais le « SANSKRIT » est-ce vraiment une langue sacrée? Je n’ai pas vraiment trouvé la réponse mais j’’ai fait, par contre, un petit tour sur un site simple et sympathique qui m’a appris des choses nouvelles par rapport aux langues indo-européennes.  Claude-Alice Marillier a voulu apprendre le sanskrit et a trouvé cela difficile jusqu’au jour où elle est tombée sur des cours par correspondance donnés par une femme qu’elle estime beaucoup, Hélène Marinetti : le cours de Dîpa. Note: Il existe aussi un dictionnaire de traduction en ligne pour le sanskrit et un logiciel pour les caractères de police à l'écran.

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Ecrit par Ginette Lavigne, à 13:53 dans la rubrique "Mystique et spiritualité".
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Jeudi 31 Août 2006
Louis-Claude de Saint-Martin et la musique
--> Musique et harmonie

D'après le manuscrit Les Nombres, de Saint-MartinLouis-Claude de Saint-Martin, le « Philosophe inconnu » qui est devenu très connu. C’est paradoxal! Comme la vie d’ailleurs. J’ai trouvé sur le site Louis-Claude de Saint-Martin. Le Philosophe inconnu  des références à ses écrits cachés. Il a publié plusieurs  livres mais  aurait rédigé d’autres textes qui ont été un peu plus disséminés. Certaines Lettres anonymes lui ont été attribuées, dont l’une en particulier qui s’intitule : Lettre sur les rapports de l'harmonie avec les nombres (fichier pdf de 14 pages). On trouve les explications, sur cette page en particulier, Musique et harmonie. Cette étude est très intéressante et nous porte à méditer sur le sujet.  Pour mieux connaître ce philosophe et ses idées, il est possible de télécharger aussi des extraits et des œuvres complètes sur la page Bibliothèque. Pour plus de détails sur l’étude « Musique et harmonie chez Saint-Martin », lire un extrait  

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Ecrit par Ginette Lavigne, à 15:23 dans la rubrique "Mystique et spiritualité".
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Samedi 01 Octobre 2005
Ouvrages mystiques et spirituels digitalisés
--> Bibliothèques en ligne sur le site King’s Garden
 

Il est écrit sur le site Web King’s Garden que celui-ci est dédié à la liberté de pensée et de croyance. « L'arc-en-ciel a été choisi comme le symbole de l'harmonie devant exister entre les diverses manifestations de la Vérité-Une ». Des documents, articles, livres, conférences, sont téléchargeables en fichier pdf provenant d’auteurs comme Saint-Thomas d’Aquin, Thérèse d’Avila, Alice Bailey, Annie Besant, Helena Petrovna Blavatsky, Jacob Boehme, Charles Webster Leadbeater, Eliphas Lévi, Louis Claude de Saint-Martin, Dr Gérard Encausse (Papus) et bien d’autres. (Lisez l'article pour les liens)

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Ecrit par Laginette, à 09:40 dans la rubrique "Mystique et spiritualité".
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